Actualités et Rumeurs

Traversées du désert
Les tensions entre les peuples orcs et les tribus nomades sont depuis quelques semaines particulièrement vives. Traverser le désert s’avère plus dangereux que de coutume. Les voyageurs et mercenaires en tout genre l’ont bien compris, et les prix des caravanes et des expéditions flambent douloureusement.

La nécessité de calmer le jeu se fait de plus en plus sentir… Mais attendre encore un peu avant de faire quoique ce soit pour apaiser les forces en présence permet d’empocher encore un peu plus de monnaie.



La course aux Coureurs
La dernière saison du Rax a été meurtrière. Et Gritz Levenhore, Grand Maître de l’Ordre des Coureurs, compte une fois de plus repeupler ses rangs pour assurer la solidité et la fiabilité de son organisation.

On dit que les recruteurs sont à l’affut de tout talent prometteur. Certains n’attendent pas d’y être invités, et vont se présenter spontanément auprès de l’Ordre, afin d’embrasser cette prestigieuse mais souvent mortelle carrière.



A cause des Kosoths
Un trafic de Kosoth – les fameuses montures du Khar-Lan – a récemment été interrompu. Hal-Nejaïa était le principal terrain d’échange, et est désormais âprement surveillé par les marchands des deux bords peu désireux de voir baisser dangereusement les prix officiels de ces précieuses montures.

La rareté des Kosoth a fait s’envoler leur prix au marché noir, et a incité d’autres reventes illégales d’animaux divers, menaçant les importateurs honnêtes sur leur terrain.

Arelias Ka’doïnen, le chef de la communauté elfe noire d’Arkhwam, a lui même incité ses semblables à garantir la traçabilité de leurs ventes, de façon à ne pas irriter les marchands de montures locales, et à conserver des relations cordiales entre tous.

On dit que l’un des principaux éleveurs d’animaux de bât d’Arkhwam, Mir’ab Ak’rim, prendrait l’affaire particulièrement à cœur. Tentant sans succès de monter son propre élevage de kosoths dans la région depuis plusieurs années sans succès. Mir’ab voit d’un mauvais œil la possibilité que certains gagnent malhonnêtement un argent qu’il ne parvient pas à accumuler honnêtement. Il milite ainsi pour tenter de promouvoir « les productions locales ». Peine perdue dans une cité à la gloire des échanges internationaux… Mir’ab en serait devenu fort aigri, et au moins aussi raciste.



Nous venons en paix.
Barthelemy Nerem a toujours été vu comme un doux rêveur. Anthropologue installé depuis toujours à Arkhwam, il vit dans la cité en profitant de la grande mixité pour étudier les diverses races de Raxxon. Son but : une encyclopédie des peuples, amenant les races à mieux se comprendre, et à s’accepter. La paix dans le monde, ni plus ni moins.

Il provoquait les gentilles moqueries et les sourires de compassion, jusqu’à il y a quelques mois.

Barthelemy s’est retrouvé en possession d’un soudain apport d’argent d’origine inconnue, et a décidé de le dépenser en montant une expédition. : une première pour lui qui ne s’est toujours contenté que d’observer sans quitter sa cité.

Son projet est aussi simple qu’insensé : partir à la rencontre des peuplades orcs des désolations nordiques, et les faire connaître. Il est persuadé que cette opération apaisera définitivement les tensions avec les tribus nomades, pacifiera le désert, et sera le parfait point de départ de son grand « Projet de Paix ».

Tout cela ne seraient que sympathiques élucubrations si les sommes que Barthelemy promet à ceux voulant l’aider ne commençaient pas à sérieusement éveiller l’intérêt autour de lui. Que ce soit pour l’aider, ou le dépouiller de sa soit-disant fortune.



Sous le sable, le sable ?
On dit qu’une équipe d’archéologues parcourt le désert à la recherche des anciennes cités enfouies, depuis le lointain âge d’or des désolations nordiques.

On dit que l’inquisition a depuis longtemps éliminé cette caravane pour faire taire les rumeurs impies, mais que les fantômes des membres assassinés continuent à parcourir le désert pour poursuivre leurs recherches.

A moins que ce ne soient des scarabs qui les aient décimés, dévorés, et hérité de leur savoir, creusant maintenant des galeries sous le désert pour retrouver les cités perdues.

Ou peut être était ce bien l’inquisition, la responsable. Mais elle aurait laissé un survivant, élevé par un groupe de scarabs dont il aurait pris la tête, préparant sa revanche dans les ruines d’une ancienne cité ?

Mais peut être sont ils simplement toujours vivants, craignant de rentrer les mains vides, errant et se cachant de toute âme pouvant témoigner de leur échec ?

…Ce qui est certain, c’est que dans le désert, on croise parfois des ruines. Et des cadavres. Tout ça, ça cache quelque chose. Et sur’ment qu’on nous ment. Oui m’sieur !



Dans les arènes d’Arkhwam
On sait Kieras Eklernuit, , maître de l’Arène Sanglante, et Drarg-le-bossu, dirigeant du Cube, en concurrence permanente dans le monde des gladiateurs et des combats spectaculaires.

Mais l’appât du gain a l’art de parfois effacer toutes les oppositions.

La nouvelle fait le tour de la ville, Kieras et Drarg vont mettre leurs talents respectifs en commun pour organiser l’un des plus grands tournois de gladiateurs que la ville ait vue.

Les parieurs sont en effervescence, mais pas seulement. Le gain promis aux meilleurs gladiateurs attire en effet l’attention d’une foule de participants potentiels. La somme serait mirobolante. Et les esclaves forcés de combattre ne seraient pas en reste : il y aurait des promesses de libération à la clef pour eux, et d’excellentes compensations financières pour leurs maîtres !

Chacun reste à l’affut du moment où le projet sera officiellement révélé, et les inscriptions ouvertes !